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Mon ombre, avec de plus longues jambes...

C'est sur ces quelques mots que s'ouvre Ombre. Ce petit haïku, en plus de son intérêt symbolique, est une des rares idées que nous avons gardé du scénario original. Ombre acte 2 lui est radicalement différent : c'est un making of qui présente les coulisses de notre tournage raté. Un document relatant une histoire vieille de 2 ans.
Les 2 actes sont indissociables, chacun complétant l'autre. Et c'est pour cette raison que nous vous invitons à les voir ensemble (donc à les télécharger ensemble).

Notre été s'annonçant pluvieux, vous aurez donc le loisir de voir et revoir les 2 actes de Ombre. Cette année, en région parisienne, le soleil se fait discret...
Il faudra donc probablement occuper nos longues journées. Heureusement, comme chaque année, les grands studios d'Hollywood ont fait le plein de blockbusters. Comme chaque année, il sera difficile d'échapper à la vague poussant de façon mystérieuse tous ces films « gigantesques » à sortir à la même période.
L'été est-il si fécond pour l'industrie du très grand spectacle ?
Ce qui étonne, c'est le nombre de suite, voir de suite de suite : Pirates des Caraïbes, Harry Potter, Spiderman, Hostel, Die Hard, Ocean's, La colline à des yeux, Les 4 fantastiques, Evan tout puissant, La vengeance dans la peau...
La seule originalité relative dans le créneau semble être Transformers.
Mais rassurons nous, j'ai vu tout de même quelques films plus discrets qui semblent franchement intéressants (dont le dernier Chabrol).

Enfin, nous n'aurons probablement pas le temps d'aller nous cacher dans les salles obscures, une bonne partie de cet été étant réservée au tournage d'un nouveau projet.
D'ailleurs, en parlant de temps (non plus celui de la météo mais l'autre, temporel), j'espère en trouver un peu pour faire évoluer le site : notamment en rajoutant une rubrique Liens et quelques bonus.
Pour l'instant, la mise à jour qui accompagne cet édito met à disposition les divx des deux Ombre. Nous espérons alors vous compter encore une fois comme fidèles spectateurs.

Bonnes vacances,
Anthony